Sentier des Cimes – LH2

Projet

Le projet Sentier des Cimes consiste en une passerelle piétonne de 1,5 km suspendue à la cime des arbres. Il comprend également deux tours, soit une tour d’observation principale d’environ 40 mètres (120 pieds) et une autre d’une hauteur de 25 mètres (82 pieds) avec ascenseur de 5 étages.

Le Sentier des Cimes est une passerelle composée principalement de poutres en bois lamellé-collé sur lesquelles repose un platelage en bois de Sapin Douglas (BC Fir). La passerelle est d’une hauteur moyenne de 10 mètres, et atteint plus de 17 mètres à son point le plus haut, offrant ainsi aux randonneurs un point de vue sur la cime des arbres.

La tour d’ascenseur est un noyau en béton qui abrite un ascenseur et son équipement de fonctionnement. En périphérie du noyau se trouvent des escaliers en colimaçon construits en bois lamellé-collé de Sapin Douglas. La charpente primaire en lamellé-collé est fixée au noyau en béton par un système de contreventement horizontal composé d’éléments en bois lamellé-collé et de connexions en acier. La structure et le noyau des deux tours reposent sur des fondations en béton armé de 1,2 mètre d’épaisseur.

La passerelle repose quant à elle sur des poteaux en bois de Sapin Douglas d’environ 500 mm de diamètre, assemblés à des fondations en treillis et fixés à des ancrages de roche pour éviter tout soulèvement.

Avantages pour les utilisateurs du logiciel Graitec Advance Design

Les principaux avantages obtenus au cours du processus de conception avec le logiciel Graitec Advance Design sont les suivants :

• Advance Design a été particulièrement utile dans ce projet de type « Design-Build » car la facilité et la rapidité de la modélisation ont permis à l’équipe de réviser le modèle en temps réel tout au long du projet.
• Les fonctions d’analyse non linéaire avec l’outil de support planaire en tension/compression leur a également donné l’opportunité d’évaluer la stabilité de renversement du radier de fondations, d’évaluer si la conception risquait de se soulever, et enfin d’évaluer la pression de pointe générée sur l’infrastructure par rapport à leur capacité de charge.